Beck - Guero
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Beck - Guero
Une fois de plus je vais un peu vous embêter avec Beck, alors si vous n'aimez pas son nouvel album ce n'est pas la peine de lire ces quelques lignes, elles vont dire tout le contraire...
Après l'avoir écouté le premier single E-Pro, puis le deuxième Hell Yes et enfin le troisième Black Tambourine, je n'étais pas vraiment convaincu que ce nouvel opus soit une petite merveille venue d'un véritable créateur.
D'habitude Beck exploire énormémant la musique, mais d'une façon totalemnt destructuré, au point où quelques fois des chansons qui devaient être de véraitables hymes indés en deviennes chiantes, dépouvues de sens. En concert Beck arrivait toutefois a inversé la tendance, ces chansons chiantes devanant carraément magnifiques sur scène. Comment un homme qui est un géni sur scène pouvait nous livrere dew albums certes bon mais prise de tête, pseudo intello?
Peut-être était il mal encadré? Je ne crois pas, car Beck travaille avec les personnes. Peut-être qu'il a mûri? Malgré tout les efforts mis par un "journaliste" de 20 minutes je ne pense pas que le mariage de Beck ou la naissance d'un enfant est plus influencé sa carrière. Il faut sans doute rappeler que Beck avait commençé à enregistrer cet album dès Mindnite Vultures, avant ce mariage et cet enfant. C'est pourquoi j'en déduit que Beck a peut-être tout simpplement besoin de temps pour réaliser ce qu'il définissait lui même comme un album rock.
C'est sûre Beck n'a pas composé un album comme les Strokes ou les Whites Stripes, qu'il a souvent salué. Mais si cet album est bien rock. En imposant son style, Beck a aussi imposait qu'il était bien un rockeur pour ceux qui en doutaient encore. Beck mélange la guitare électrique avec les boîtes à rythme, le piano et ça marche.
La première chanson E-pro est une sorte de synthèse de tout ce qu'on peut trouver dans cet album. Des chansons comme Girl, Earhquake Weather, Broken Drum, Scarecrow et Rental Car apparaissent comme des hymmes à la bonne humeur. Alors que d'autres jouent la carte de l'originalité avec Qué onla Guero, Missing, Hell Yes....
Bref il est heureux et ça fait plaisir à entendre, avec cet album le plus structuré de Beck où les chansons ne sont pas mis au hasard mais dans un order logique. Il faut achetter cet album, c'est une vraie petite merveille.
Rendez-vous tous (je l'espère) le 16 juin à Paris devant les Zénith
Après l'avoir écouté le premier single E-Pro, puis le deuxième Hell Yes et enfin le troisième Black Tambourine, je n'étais pas vraiment convaincu que ce nouvel opus soit une petite merveille venue d'un véritable créateur.
D'habitude Beck exploire énormémant la musique, mais d'une façon totalemnt destructuré, au point où quelques fois des chansons qui devaient être de véraitables hymes indés en deviennes chiantes, dépouvues de sens. En concert Beck arrivait toutefois a inversé la tendance, ces chansons chiantes devanant carraément magnifiques sur scène. Comment un homme qui est un géni sur scène pouvait nous livrere dew albums certes bon mais prise de tête, pseudo intello?
Peut-être était il mal encadré? Je ne crois pas, car Beck travaille avec les personnes. Peut-être qu'il a mûri? Malgré tout les efforts mis par un "journaliste" de 20 minutes je ne pense pas que le mariage de Beck ou la naissance d'un enfant est plus influencé sa carrière. Il faut sans doute rappeler que Beck avait commençé à enregistrer cet album dès Mindnite Vultures, avant ce mariage et cet enfant. C'est pourquoi j'en déduit que Beck a peut-être tout simpplement besoin de temps pour réaliser ce qu'il définissait lui même comme un album rock.
C'est sûre Beck n'a pas composé un album comme les Strokes ou les Whites Stripes, qu'il a souvent salué. Mais si cet album est bien rock. En imposant son style, Beck a aussi imposait qu'il était bien un rockeur pour ceux qui en doutaient encore. Beck mélange la guitare électrique avec les boîtes à rythme, le piano et ça marche.
La première chanson E-pro est une sorte de synthèse de tout ce qu'on peut trouver dans cet album. Des chansons comme Girl, Earhquake Weather, Broken Drum, Scarecrow et Rental Car apparaissent comme des hymmes à la bonne humeur. Alors que d'autres jouent la carte de l'originalité avec Qué onla Guero, Missing, Hell Yes....
Bref il est heureux et ça fait plaisir à entendre, avec cet album le plus structuré de Beck où les chansons ne sont pas mis au hasard mais dans un order logique. Il faut achetter cet album, c'est une vraie petite merveille.
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moué
chui pas trop d'accord
a la limite on as pas du écouter le meme truc
je trouve justement qu'il y a un certain manque de cohesion dans les chansons, un espece de fourre tout ou le bon alterne avec le tres moyen, odelay etait cela, sauf que les chansons moyennes n'etaient pas presentes...
et puis je prefere quand il fait son intello comme tu dis, mutations est formidable, les chansons sont ecrites et joué avec une profondeur qui ne peut que te toucher, idem pr sea change, avec ces compos qui s'imbriquent parfaitement,la bande son d' un voyage en terre deserte ou le vent souffle pour effacer la trace de tes pas...
deja midnight vultures s'essouflait un peu malgré une premiere partie d'album aux melodies et idées novatrices, guero lui fait dans le tiede,la lasagne 3 parts de chez casino que t'as pas laissé assez longtemps ds le micro ondes...
alors sur scene c'est forcemment autre chose vu que le mr dispose d'un repertoire solide et varié, il sait s'entourer de bons musiciens en general
Ce qui etait bon avec beck , c'etait de l'attendre ou il n'etait pas, toujours cette idée de vouloir prendre a contresens les gens , de les suprendre, une fois l'effet passé, beck n'ettonne plus et tourne a rond, reste plus qu'il ait le bonheur de retomber sur sa guitare seche...
chui pas trop d'accord
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je trouve justement qu'il y a un certain manque de cohesion dans les chansons, un espece de fourre tout ou le bon alterne avec le tres moyen, odelay etait cela, sauf que les chansons moyennes n'etaient pas presentes...
et puis je prefere quand il fait son intello comme tu dis, mutations est formidable, les chansons sont ecrites et joué avec une profondeur qui ne peut que te toucher, idem pr sea change, avec ces compos qui s'imbriquent parfaitement,la bande son d' un voyage en terre deserte ou le vent souffle pour effacer la trace de tes pas...
deja midnight vultures s'essouflait un peu malgré une premiere partie d'album aux melodies et idées novatrices, guero lui fait dans le tiede,la lasagne 3 parts de chez casino que t'as pas laissé assez longtemps ds le micro ondes...
alors sur scene c'est forcemment autre chose vu que le mr dispose d'un repertoire solide et varié, il sait s'entourer de bons musiciens en general
Ce qui etait bon avec beck , c'etait de l'attendre ou il n'etait pas, toujours cette idée de vouloir prendre a contresens les gens , de les suprendre, une fois l'effet passé, beck n'ettonne plus et tourne a rond, reste plus qu'il ait le bonheur de retomber sur sa guitare seche...
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Il y a des groupes qui n’ont jamais su faire des intros normales, d’autres qui n’ont jamais réussi à commencer par autre chose qu’un refrain, mais Beck, lui n’a jamais réussi à faire un abum cohérent. Comme toujours, il présente une alternance de morceaux folk-blues avec des sons de gratte travaillées jusqu’à la moëlle, suivis de titres hip-hop, puis d'une guitare électrique, bref le joyeux bordel qu’on lui connaït.
Comme s’il voulait plaire à tout le monde, se faire respecter à la fois des rappeurs et des rockers, se faire adorer des skaters autant que des intellos. Mais quand on voit que chacun de ces titres est un bijou et/ou un tube, il faut se rendre à l’évidence, ce type flirte régulièrement avec le génie. Lui demander de rentrer dans des cases, c’est comme faire jouer Ronaldhino au poste de libéro. Ca n’aurait aucun sens.
Smaëlb | 29.03.05 tiré de nova.com
Il y a une vraie jubilation, voire un soulagement, à se faire ainsi agresser/caresser dès les premières minutes de Guero : cette impression que "Beck is back", que les rangements trop sages de ses trois derniers albums se sont effondrés et, qu’à nouveau, c’est le bordel dans l’antre coloré et biscornu du Californien. Car on peut l’admettre aujourd’hui : on a parfois fait semblant d’aimer son trop raisonnable et ordonné triumvirat Mutations (exercice de style folklo, 1998), Midnite Vultures (exercice de style funk, 1999) et Sea Change (exercice de style pop, 2002). Pire : on a simulé l’orgasme en criant au génie alors qu’en fait, à chaque fois, on pensait à une autre.
L’autre, c’était cette extraordinaire foire à tout de Mellow Gold (1994), insolent et indolent premier album où le blondinet agité mélangeait en toute innocence tous les sons que son quartier bigarré du bario de Los Angeles dégueulait à pleines fenêtres : des fanfares mariachi et du hip-hop, du blues et de la pop cosmique, du folk et du punk-rock avachi. Pas étonnant qu’en 2005 Beck soit rentré se ressourcer au bario, d’où il a ramené le même catalogue farfelu et nonchalant de sons et d’ambiances. Pas étonnant, non plus, qu’il ait une fois encore fait appel aux producteurs Dust Brothers – ceux de Mellow Gold – pour "organiser" à leur manière laxiste ces chansons très fâchées avec la discipline, la raison, le calibrage.
Plutôt que de refuser le mélange des torchons et des serviettes, comme sur ses trois derniers albums, Beck choisit enfin de les réconcilier glorieusement, avec le linge sale en plus – et d’organiser une gigantesque bataille de polochons où des bribes de rap frappent joyeusement une pop précieuse, où un folk sensible se fait pervertir par un rock négligé. Et ceci, parfois, à l’intérieur de la même chanson. Un vrai disque d’intérieur, pour rêver en volutes, danser sur la table, jouer l’andouille, manger des tortillas, faire le sexe ou écraser les cafards à pleines baskets. Beck décline toute responsabilité pour votre intérieur.
Jean-Daniel Beauvallet tiré des inrocks.com
Comme s’il voulait plaire à tout le monde, se faire respecter à la fois des rappeurs et des rockers, se faire adorer des skaters autant que des intellos. Mais quand on voit que chacun de ces titres est un bijou et/ou un tube, il faut se rendre à l’évidence, ce type flirte régulièrement avec le génie. Lui demander de rentrer dans des cases, c’est comme faire jouer Ronaldhino au poste de libéro. Ca n’aurait aucun sens.
Smaëlb | 29.03.05 tiré de nova.com
Il y a une vraie jubilation, voire un soulagement, à se faire ainsi agresser/caresser dès les premières minutes de Guero : cette impression que "Beck is back", que les rangements trop sages de ses trois derniers albums se sont effondrés et, qu’à nouveau, c’est le bordel dans l’antre coloré et biscornu du Californien. Car on peut l’admettre aujourd’hui : on a parfois fait semblant d’aimer son trop raisonnable et ordonné triumvirat Mutations (exercice de style folklo, 1998), Midnite Vultures (exercice de style funk, 1999) et Sea Change (exercice de style pop, 2002). Pire : on a simulé l’orgasme en criant au génie alors qu’en fait, à chaque fois, on pensait à une autre.
L’autre, c’était cette extraordinaire foire à tout de Mellow Gold (1994), insolent et indolent premier album où le blondinet agité mélangeait en toute innocence tous les sons que son quartier bigarré du bario de Los Angeles dégueulait à pleines fenêtres : des fanfares mariachi et du hip-hop, du blues et de la pop cosmique, du folk et du punk-rock avachi. Pas étonnant qu’en 2005 Beck soit rentré se ressourcer au bario, d’où il a ramené le même catalogue farfelu et nonchalant de sons et d’ambiances. Pas étonnant, non plus, qu’il ait une fois encore fait appel aux producteurs Dust Brothers – ceux de Mellow Gold – pour "organiser" à leur manière laxiste ces chansons très fâchées avec la discipline, la raison, le calibrage.
Plutôt que de refuser le mélange des torchons et des serviettes, comme sur ses trois derniers albums, Beck choisit enfin de les réconcilier glorieusement, avec le linge sale en plus – et d’organiser une gigantesque bataille de polochons où des bribes de rap frappent joyeusement une pop précieuse, où un folk sensible se fait pervertir par un rock négligé. Et ceci, parfois, à l’intérieur de la même chanson. Un vrai disque d’intérieur, pour rêver en volutes, danser sur la table, jouer l’andouille, manger des tortillas, faire le sexe ou écraser les cafards à pleines baskets. Beck décline toute responsabilité pour votre intérieur.
Jean-Daniel Beauvallet tiré des inrocks.com
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Idem pour moibruno a écrit :moué
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je trouve justement qu'il y a un certain manque de cohesion dans les chansons, un espece de fourre tout ou le bon alterne avec le tres moyen, odelay etait cela, sauf que les chansons moyennes n'etaient pas presentes...
et puis je prefere quand il fait son intello comme tu dis, mutations est formidable, les chansons sont ecrites et joué avec une profondeur qui ne peut que te toucher, idem pr sea change, avec ces compos qui s'imbriquent parfaitement,la bande son d' un voyage en terre deserte ou le vent souffle pour effacer la trace de tes pas...
deja midnight vultures s'essouflait un peu malgré une premiere partie d'album aux melodies et idées novatrices, guero lui fait dans le tiede,la lasagne 3 parts de chez casino que t'as pas laissé assez longtemps ds le micro ondes...
alors sur scene c'est forcemment autre chose vu que le mr dispose d'un repertoire solide et varié, il sait s'entourer de bons musiciens en general
Ce qui etait bon avec beck , c'etait de l'attendre ou il n'etait pas, toujours cette idée de vouloir prendre a contresens les gens , de les suprendre, une fois l'effet passé, beck n'ettonne plus et tourne a rond, reste plus qu'il ait le bonheur de retomber sur sa guitare seche...
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J'aime beaucoup. Bon je suis assez subjectif, faisant de la basse et cet album étant très porté sur le sujet 
On sent clairement l'influence des Dust Brothers, des Beasties Boys...
C'est sur celà n'a rien à voir avec le chef d'oeuvre qu'est pour moi Midnite Vultures ou même avec Sea Change... mais faut bien évoluer:o
On sent clairement l'influence des Dust Brothers, des Beasties Boys...
C'est sur celà n'a rien à voir avec le chef d'oeuvre qu'est pour moi Midnite Vultures ou même avec Sea Change... mais faut bien évoluer:o
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GUERO est sympa, mais on dirait vraiment qu'il a pris une poele, a mis MELLOW GOLD et ODELAY à cuire dedans et hop, ça a fait un album...
Mais je l'aime bien, surtout E-PRO, GIRL, SCARECROW et CHAIN REACTION
Mais je l'aime bien, surtout E-PRO, GIRL, SCARECROW et CHAIN REACTION
"CIRCONV'NIR?"
"EH OUI, J'AI DU VOCABULAIRE, TU LIS BEAUCOUP?"
"J'SUIS ABONNE A NICHONS MAGAZINE, CA T'VA?"
http://www.myspace.com/prozacvsheroinloadedband
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"J'SUIS ABONNE A NICHONS MAGAZINE, CA T'VA?"
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Une tuerie ce concert.... (live Beck 16/06/2005) Moins de 2H de concert.
- Pour ceux qui ne veulent pas tout lire, on va juste dire que ce fût le meilleur concert que j'ai vu jusqu'à ce jour, à la fois rock, folk, funk et hip-hop. Il confirme ce que j'ai toujours pensé de lui, à savoir qu'il est bien meilleur en live et qu'il est le meilleur de sa génération... Guero rend très bien en concert et je sui confirmée dans l'idée que c'est son meilleur album jusqu'à ce jours.
- (version longue) Tout commençait pourtant mal, 19h10 et le Zénith est toujours vide, seules quelques fans sont assis devant la scène - aucune queue pour rentrer et nous sommes à 1/2H de la première partie, ça comme à m'inquièter... Est-ce-que Beck ne plairait plus? Zénith fût coupé en 2 et le carré VIP est désert, d'ailleurs il sera retiré avant la rentrée de beck.
Commence alors la première partie - Phoenix. Le groupe français a été correct mais sans plus - disons que l'on retiendra que leur unique tube ralongé de quelques minutes, définitivement plus rock pour l'occasion et un mauvais accordement de guitare sur la première chanson.
Beck se fait attendre, les techniciens passent près 1/2H à vérifier le matériel. Il est là, toujours aussi petit, toujours aussi maigre, toujours aussi blond. Il porte un jean, des converses rouges, un t-shirt fluo vert et une veste kaki, bref la grande classe. 8)
La première chanson annonce la couleur du concert, il sera Beck - Devils Hiarcut pour l'ouverture, puis vient alors les chansons de Guero - la guitare est saturée, la basse fait trembler le sole. Beck est joyeux, il a envie de nous et de se faire plaisir.
Il nous joue alors Hell Yes (je m'attendais à ce qu'il la joue mais j'avais peur de la suite) pour transiter avec le sompteux new pollution, puis rebomdir sur une nouvelle chanson inconnue (selon moi c'est Hell Yes dans une nouvelle forme).
Marketing oblige, il continue avec les chansons de Guero (Qué Onda Guero - Farewell Ride) sans jouer E-Pro. Puis viens sa ribambelle de tubes - Loser - Sex Laws...etc Le public n'en peut plus.
Tout le monde pensait que le premier rappel allait arriver, mais finalement non - les techniciens disposent une table de camping pour les musiciens - heure du dînet oblige - Beck jouera seul, en accoustique, d'abord Guess I'm doing fine, puis Los Cause, une reprise (chanson hyper connu de Mickäel ?), The Gorden Age et enfin Debra.
Les musiciens reviennent pour nous servir Guero et Where it's at. Vient alors la traditionnelle pause. Le public n'en peut plus, il a mal aux mains comme moi! Il en redemande. 5 minutes plus tard les misiciens arrivent en costume blanc de style Star Wars, ils enchaînent avec les tubes de Midnite Vultures (Nicotine & Gravy, Peaches & Cream, Mixed Buziness) sur une scène où est aussi entrée un groupe de jeunes, on aurait pu croire à des fans... (selon moi il s'agit d'un groupe d'une école d'art de Los Angeles recruté pour la tournée Beck 2005). C'est la fin....
Il ne faut pas oublier qu'il a modifié toutes ses chansons pour améliorer les solos et autres.... Il ne faut pas oublier son brain d'humour, sa decontraction et sa reélle sympathie à l'égard de ses fans... Beck était tout simplement parfait. Les seules points negatifs, je dirai le fait de na pas avoir interpréter une seule chanson de Mutation, de pas avoir fait un second rappel et la présence de fans (2 gamines avec leur mère)chiantes - les pétasses dans toute leur splendeur - juste devant moi - mais bon si elles peuvent écouter de la grande musique passons...
Je n'ai plus qu'à dire 2 choses: Vive la musique et vive Beck... !!!!!
8)

- Pour ceux qui ne veulent pas tout lire, on va juste dire que ce fût le meilleur concert que j'ai vu jusqu'à ce jour, à la fois rock, folk, funk et hip-hop. Il confirme ce que j'ai toujours pensé de lui, à savoir qu'il est bien meilleur en live et qu'il est le meilleur de sa génération... Guero rend très bien en concert et je sui confirmée dans l'idée que c'est son meilleur album jusqu'à ce jours.
- (version longue) Tout commençait pourtant mal, 19h10 et le Zénith est toujours vide, seules quelques fans sont assis devant la scène - aucune queue pour rentrer et nous sommes à 1/2H de la première partie, ça comme à m'inquièter... Est-ce-que Beck ne plairait plus? Zénith fût coupé en 2 et le carré VIP est désert, d'ailleurs il sera retiré avant la rentrée de beck.
Commence alors la première partie - Phoenix. Le groupe français a été correct mais sans plus - disons que l'on retiendra que leur unique tube ralongé de quelques minutes, définitivement plus rock pour l'occasion et un mauvais accordement de guitare sur la première chanson.
Beck se fait attendre, les techniciens passent près 1/2H à vérifier le matériel. Il est là, toujours aussi petit, toujours aussi maigre, toujours aussi blond. Il porte un jean, des converses rouges, un t-shirt fluo vert et une veste kaki, bref la grande classe. 8)
La première chanson annonce la couleur du concert, il sera Beck - Devils Hiarcut pour l'ouverture, puis vient alors les chansons de Guero - la guitare est saturée, la basse fait trembler le sole. Beck est joyeux, il a envie de nous et de se faire plaisir.
Il nous joue alors Hell Yes (je m'attendais à ce qu'il la joue mais j'avais peur de la suite) pour transiter avec le sompteux new pollution, puis rebomdir sur une nouvelle chanson inconnue (selon moi c'est Hell Yes dans une nouvelle forme).
Marketing oblige, il continue avec les chansons de Guero (Qué Onda Guero - Farewell Ride) sans jouer E-Pro. Puis viens sa ribambelle de tubes - Loser - Sex Laws...etc Le public n'en peut plus.
Tout le monde pensait que le premier rappel allait arriver, mais finalement non - les techniciens disposent une table de camping pour les musiciens - heure du dînet oblige - Beck jouera seul, en accoustique, d'abord Guess I'm doing fine, puis Los Cause, une reprise (chanson hyper connu de Mickäel ?), The Gorden Age et enfin Debra.
Les musiciens reviennent pour nous servir Guero et Where it's at. Vient alors la traditionnelle pause. Le public n'en peut plus, il a mal aux mains comme moi! Il en redemande. 5 minutes plus tard les misiciens arrivent en costume blanc de style Star Wars, ils enchaînent avec les tubes de Midnite Vultures (Nicotine & Gravy, Peaches & Cream, Mixed Buziness) sur une scène où est aussi entrée un groupe de jeunes, on aurait pu croire à des fans... (selon moi il s'agit d'un groupe d'une école d'art de Los Angeles recruté pour la tournée Beck 2005). C'est la fin....
Il ne faut pas oublier qu'il a modifié toutes ses chansons pour améliorer les solos et autres.... Il ne faut pas oublier son brain d'humour, sa decontraction et sa reélle sympathie à l'égard de ses fans... Beck était tout simplement parfait. Les seules points negatifs, je dirai le fait de na pas avoir interpréter une seule chanson de Mutation, de pas avoir fait un second rappel et la présence de fans (2 gamines avec leur mère)chiantes - les pétasses dans toute leur splendeur - juste devant moi - mais bon si elles peuvent écouter de la grande musique passons...
Je n'ai plus qu'à dire 2 choses: Vive la musique et vive Beck... !!!!!
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d'un avis d'un ami a moi que j'ai, pas trop immergé ds la culture rock, il a trouvé ca un peu trop carré, genre la grosse tournée mtv, bien cadrée, mais il as bien kiffé, notamment le fameux passage ou ils sont a table...mais il a trouvé que ca manquait de spontaneité, comme son dernier album tiens...mais j'aurai bien aimé jugé de mon propre chef, 1 date en france c'est mince hein!
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c'est surtout le zenith qui est mince je trouve... surtout pour un artiste comme Beck. Je le verrai plus à l'elysée montmartre seul et sa gratte a jouer tout Sea Change
Enfin bon je l'ai vu à Benicassim y a 2 ans sur la grande scène et c'été certe très carré mais il est tellement fort ce Beck quand il s'y met (même quand il fait des reprises à la con
)
Enfin bon je l'ai vu à Benicassim y a 2 ans sur la grande scène et c'été certe très carré mais il est tellement fort ce Beck quand il s'y met (même quand il fait des reprises à la con
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- Méla
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C'est sûre que c'est carré et très propre, mais en même temps il se contente pas de jouer la même version de ses chansons que sur ses albums. Je dirai que c'est propre mais qu'il arrive à intégrer un dose d'improvisation.bruno a écrit :d'un avis d'un ami a moi que j'ai, pas trop immergé ds la culture rock, il a trouvé ca un peu trop carré, genre la grosse tournée mtv, bien cadrée, mais il as bien kiffé, notamment le fameux passage ou ils sont a table...mais il a trouvé que ca manquait de spontaneité, comme son dernier album tiens...mais j'aurai bien aimé jugé de mon propre chef, 1 date en france c'est mince hein!
En effet c'est mince qu'une date en France, alors qu'il en fait au moins 5 en Allemagne et en Italie, en même temps le Zénith était loin d'être plein... Les français préfèrent Lorie ou la Star ac.
Sea Change, il l'a déjà joué tout seul avec sa gratte, c'était en avril 2003 au Grand Rex. On avait même eu un petit cadeau la présence sur scène des 2 de Air. Sans oublier la montée sur scène d'un fan pour chanter avec lui Mexico.
Etant donné qu'il n'y a plus un seule français sur Beck, je vais en faire un; je trouve dommage qu'un artiste majeur des années 90 n'ait pas un site en France.
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- bruno
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